Sa gloire posthume doit beaucoup à ses calaveras, qui ne représentent pourtant qu’une petite partie de son œuvre. La richesse de sa production méritait d’être enfin connue. C’est l’objectif de cette exposition, première rétrospective en France de l’œuvre de Posada, conçue à partir de l’exceptionnelle collection de Mercurio López Casillas.
